I BLAME COCO
THE CONSTANT

Comment ne pas tomber sous le charme de la belle Coco Sumner, une fille aussi mystérieuse qu’elle peut le paraître sur les photos des campagnes publicitaires Burberry, aussi talentueuse que dans son premier album avec son groupe I Blame Coco.
The Constant réunit à la fois différents styles musicaux : pop, reggae, électronique, rock. Pas de quoi se plaindre ; non seulement charmés par les instruments éclectiques, nous le sommes aussi par la ravissante voix de Coco, qui rappelle les années Police, de son paternel Sting, loin de là péjoratif.
Comme elle le dit si bien dans Modzik « Je n’essaie pas de plaire à tout prix, même si c’est important d’attire des gens vers sa musique […] Je ne fais pas ça pour la fortune ou la célébrité. J’aime la musique plus que tout… ». Et nous sommes d’emblée convaincus.



Une belle maîtrise des claviers, et des guitares, surtout dans Selfmachine, In Spirit Golden, Turn Your Back On Love, Please Rewind, les titres les plus dansants de l’album procurant une énergie dans notre corps. C’est au bout de six titres que nous avons droit au repos, avec Summer Rain aux paroles émotionnelles « So tell me have I lost it all, Have I lost my pain, Punch through a red brick wall, I don't feel a thing » « We share the blame Just like the darkness in your mind Is blind with shame » et petit-à-petit nous voila repartis pour un back to 80s avec “Caesar” et “Only Love Can break Your Heart”.
The Constant est donc un album des plus réussi, aux diverses influences. Coco Sumner sait se justifier en ce qui concerne I Blame Coco, il faudra donc « écouter le disque, et arrêter de toujours penser à son background familial ».